Poche: 241 pages
Langue : Français
ISBN : ISBN : 2-07-028470-0
Grand écrivain polonais, Adolf Rudnicki est né à Varsovie en 1912. Il y est mort en 1990.
Editeur : Gallimard
Né à Varsovie, il fait son entrée en littérature en 1932, avec une longue nouvelle, Les Rats. Après la guerre, qu'il a passée d'abord à Lwow, puis à Varsovie, Rudnicki collabore à la revue de gauche La Forge. Les nouvelles de cette époque s'inscrivent dans le mouvement général de la «littérature de l'holocauste». Plus tard, confronté au réalisme socialiste, il en refuse certains impératifs et se voit contraint au silence. En 1952, il parvient cependant à se faire réentendre, comme essayiste, sous le couvert d'une chronique sportive. Ce sont les Feuillets sportifs, qui feront bientôt place aux Feuillets bleus, élément important de la littérature du «dégel».
Adolf Rudnicki, ce grand écrivain polonais, était le descendant d'une vieille famille hassidique. Là se trouve peut-être une des sources de l'écriture rudnickienne alliant le témoignage contemplatif à l'exégèse patiente du livre de la Pologne et des Juifs polonais (Les fenêtres d'or, Le lion du Saint Sabbath...), du communisme (Le compagnon de route)... Inlassablement, Rudnicki tentait d'éclairer quelque peu, simplement, les forces obscures qui s'emparent des êtres et des peuples. Tâche ardue et solitaire de celui qui ne voulut être - dans la Pologne d'après 1945 - que d'un seul parti : « A. R. »
Adolf Rudnicki est né à Varsovie en 1912. Jusqu'en 1956, l'essentiel de son oeuvre est consacré au martyr des siens, les Juifs polonais
En 1910, Léon Tolstoï (1829-1910), génie littéraire universellement admiré et oracle prophétique des convulsions socialistes russes, traverse une crise morale profonde. À l’angoisse de ne pas conformer sa vie à son idéal ascétique s’ajoute l’incompréhension de son épouse Sophie. Malgré tout l’amour et le dévouement qu’elle lui témoigne, leur union de quarante-huit ans s’abîme en reproches et en scènes réciproques. À 82 ans, par une nuit d’automne, Tolstoï s’enfuit…
Le domaine d’Iasnaïa Poliana, où l’écrivain a passé la majeure partie de sa vie, et la petite chambre de la gare d’Astapovo où il est mort...
Poids | 0,40 kg |
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