C’est au milieu des années 2000 qu’un petit groupe d’orientalistes russes et français (rattachés, pour les premiers, à l’Académie des sciences, à l’Institut d’études orientales, à l’Université Druzby narodov, à la MGU et à la Vysssaja Skola ekonomiki, et pour les seconds, à l’EPHE, à l’Université de Bordeaux et, plus tard, à l’Université de Nanterre) a mis sur pied un programme de recherches consacré aux traditions philosophiques de l’Inde, de la Chine et du Japon.

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